en lisant à peine perdue : abandon

a night in

Tindersticks – Marseilles sunshine (Live in London 2010)

il y avait cela en résonance entre les murs

 

et puis j’ai relu le texte

 
et s’est mélangé ce qu’il y avait juste avant dans le crâne,
à savoir ça :

and I know you’re hurting
and I can’t be there for you
and I know you’re hurting
and I can’t be there no more
I had shoes full of holes
when you first took me in
I had callouses, not sores
and I’d like to keep them
so go turn those sheets
get back on the street
there’s nothing more I can bring to you
they are scared of the door
afraid of the floor
well, I’ll go and walk right through

 
 
 

(c’est à peu près tout pour la nuit)

 

par Candice Nguyen

« je suis le danseur étoile, ma sœur est la ballerine, nous ne faisons plus aucun poids, nous volons en l'air, c'est une des jubilations de l'enfance de pouvoir se transformer en plume. » —Hervé Guibert

DANS LES CARNETS

à propos du silence de Larmes (largo di molto)