Tag

Christophe Grossi

de l’incertitude d’avril à l’hiver : ce qui mérite vie

depuis le train au retour de Ventimiglia, août 2013

« Sur cette terre, il y a ce qui mérite vie : l’incertitude d’avril, l’odeur du pain à l’aube, les opinions d’une femme sur les hommes, les écrits d’Eschyle, les prémices de l’amour, l’herbe sur les pierres, les mères se tenant debout sur un filet de flûte, et la peur que les souvenirs inspirent aux conquérants. Sur cette terre, il y a ce qui mérite vie : la fin de septembre, une dame qui entre...

des taxis pour la galaxie

des taxis pour la galaxie

Sophie Hunger – Le vent nous portera 15. Mi ricordo quand les femmes trompées croyaient dur comme fer aux mensonges de leur mari.   21. Mi ricordo des enfants qui ont dû voyager clandestinement avant même de naître.   31. Mi ricordo que la République sociale de Salò a été une immense et sanglante mascarade.   56. Mi ricordo quand les rêves, les moins affreux des plus mauvais...

« je suis le danseur étoile, ma sœur est la ballerine, nous ne faisons plus aucun poids, nous volons en l'air, c'est une des jubilations de l'enfance de pouvoir se transformer en plume. » —Hervé Guibert

DANS LES CARNETS

à propos du silence de Larmes (largo di molto)