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tanger

toujours en vie — et combien | & conversations avec frédéric chabot

  The Arrows – We have love (we may not have a decent home to call our own…)   _l’hiver dernier, je rencontrai frédéric arthur chabot à montréal. frédéric dont nous avions publié le travail dans PLATEFORM Magazine (dans le n°3 de février 2009 puis dans le n°35 oct. 2011 — oui je sais : le temps file). _de cette rencontre, 2 petites choses à partager ici. la 1ère, c’est cette...

Carnet tangérois

« Et nous, nous aimons la vie autant que possible. Nous dansons entre deux martyrs. Entre eux, nous érigeons pour les violettes un minaret ou des palmiers. Nous aimons la vie autant que possible. Nous écrivons nos noms pierre par pierre. Ô éclair, éclaire pour nous la nuit, éclaire un peu. Nous aimons la vie autant que possible. » Mahmoud Darwich

06 novembre, 21h17

06 novembre, 21h17

  _mistral de chien, barricadée dans ma tour avec le chauffage, le col qui remonte jusqu’au nez et… la fenêtre ouverte sur le #pointlune     _un peu plus tôt à la tombée du jour,     le retour du vol des étourneaux ou plutôt les débuts timides encore de leur migration au-dessus du ciel marseillais (mon plaisir répété chaque année)     _passé...

nous écrirons nos noms avec la vapeur

candice

« La terre ne nous contient plus. Elle nous entasse dans le dernier passage. Nous ôtons nos membres pour passer. […] Où irons-nous après les dernières frontières ? Où s’envoleront les oiseaux après Le dernier ciel ? Où dormiront les plantes quand l’air sera épuisé ? Nous écrirons nos noms avec la vapeur Teintée de carmin, trancherons la poignée au chant pour que notre chair l’achève. » Mahmoud...

tu es là, tu manques

© candice nguyen

Max Richter – A place we were « blancheur à l’arrêt comme un paquet d’air sur la nuque. (…) tu es là, tu manques. » André Du Bouchet, Retours sur le vent   « Décrochements cassant la ligne du soleil, façades flanquées d’encorbellements, murs boursouflés ou de guingois, les asymétries des très vieilles villes nous ressemblent, à nous pauvres humains. Est-ce pour ça qu’on...

« je suis le danseur étoile, ma sœur est la ballerine, nous ne faisons plus aucun poids, nous volons en l'air, c'est une des jubilations de l'enfance de pouvoir se transformer en plume. » —Hervé Guibert

DANS LES CARNETS

à propos du silence de Larmes (largo di molto)